Vous vous approchez de la jeune femme et saisissez la cravache, toujours enfoncée dans sa vulve.
Tirant d’un coup sec, vous sortez le manche dégoulinant de mouille. Valérie pousse un gémissement dans son bâillon et tourne vers vous un regard mi-implorant,
mi-effrayé. Elle vous fait signe de partir mais, ajustant le gourdin humide sur son anus offert, vous l’enfoncez dans un long mouvement tournant. Le bout de bois entre comme dans du beurre dans
la pastille dilatée et la jeune femme ferme les yeux, la joue collée au tronc rugueux de l’arbre.
Vous faites tourner le manche pour graisser l’anus et le ressortez ensuite dans un « plop! » visqueux. Sans lui laisser le temps de se refermer, vous pénétrez
immédiatement le cul ouvert et vous n’avez aucun mal à venir en toucher le fond.
Vous vous agitez sur Valérie qui gémis sous vos assauts ravageurs lorsqu’un claquement retentit. Une brûlure cinglant vos fesses vous fait vous enfoncer encore plus
violemment dans le cul de la fille.
Vous tournez la tête pour voir Géraldine, avec un air de furie, qui tient à la main la cravache que vous aviez laissé tomber. Elle semble prête à vous écorcher
vif.
« Barre-toi, connard! » vous dit-elle en vous donnant un nouveau coup qui vous irradie le dos. Sous l’effet de la douleur, vous glissez du cul rougi de
Valérie.
Allez-vous vous enfuir dans votre tente, ne désirant pas participer à une expérience masochiste (Allez en 48) ou rester pour voir ce qu’elle va bien pouvoir faire pour vous empêcher de baiser sa copine (Allez en 84)?
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