« Alors, on est moins sûre de soit sans sa cravache, Géraldine? » dites-vous à la jeune femme en vous approchant d’elle.
Regardant de coté, vous voyez, posé sur le porte savon, un godemichet vibrant d’une taille impressionnante.
« C’est avec ça que tu compenses? » renchérissez-vous en montrant l’engin.
Vous vous retournez alors en prenant la petite culotte de la fille.
« Laisse ça espèce de salaud! » dit-elle la voix blanche de colère et de peur.
Vous sautez alors sur la brune et enfoncez le sous-vêtement dans sa bouche pour empêcher d’appeler. En même temps, vous lui tordez les bras dans le dos puis vous
les lui attachez avec votre serviette.
Ainsi ligotée, Géraldine à tôt fait de comprendre qu’elle est à votre merci.
Agenouillée à vos pieds, elle vous regarde d’un air assassin. Allez au 71.
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